19 mai 2009

LA COMPLAINTE DU PHOQUE AU BURKINA : THE END?

Tout va bien.

J'étais au maquis hier, prenant mon apéro vespéral avec Francis.

Rien de bien exceptionnel, quoi.

Un vendeur ambulant est passé.

Il vendait des animaux en plastique gonflables.

Que des trucs normaux : tigres, éléphants, crocodiles, poissons...

Je passe sur la présence incongrue d'un dauphin : péché véniel.

Pas l'ombre d'un vous savez quoi.

J'ai failli l'embrasser.

Je suis guéri docteur?

Is this the end, my friend?


Note :

Il ne me reste qu'un regret, si j'avais su à l'avance le nombre d'épisodes qu'allait comporter cette chronique, j'aurais pas fait le malin en numérotant ses articles en latin.

J'avais juste commencé par "bis"...

Comme dirait Tigibus , héros secondaire de "La guerre des boutons", adorable roman de Louis Pergaud, bêtement tué devant Verdun en 1915 (Louis Pergaud, pas Tigibus) et du film éponyme et plutôt vieilli :"Si j'aurais su, j'aurais pas venu".

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