24 mai 2009

ALCIDICIDE

On raconte qu'nn jour, son fils l'ayant trouvé  en larmes, Alexandre Dumas père, qui mettait la dernière main au manuscrit du "Vicomte de Bragelonne" expliqua : " Porthos est mort ; j'ai été obligé de le sacrifier. " .

Depuis l'article final mettant un terme définitif à ce qui n'était au départ que le court récit d'une anecdote amusante et a fini par devenir une saga à rebondissements multiples, je dois avouer que je me sens moi même un peu orphelin de certain alcidé.

Alors pour finir en beauté...

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